« Il faut revenir aux fondamentaux tels que les avait définis Victor Hugo en 1878, faire en sorte que les auteurs puissent vivre de leurs œuvres et qu’ensuite elles s’élèvent et, non pas tombent, dans le domaine public et que la création française et internationale puisse créer à nouveau sans avoir à négocier un bout de gras avec de soi-disant ayants droit qui n’ont jamais connu l’auteur. »
Tellement d'accord et je trouve le mot "élévation" bien plus approprié et gratifiant pour le domaine public que de dire que l’œuvre est "tombée" ! En voilà enfin une qui a tout compris, dommage que ça ne passe pas...
ÉDIT : j'aime bien cette Isabelle Attard, elle sait mettre le doigt où ça fait mal :
http://www.nextinpact.com/news/91013-la-ministre-l-education-bien-silencieuse-a-propos-l-interoperabilite.htm