Les problèmes avec PGP et pourquoi il ne devrait plus être utilisé (je ne peux décemment pas donner tort à l'auteur concernant la complexité d'utilisation et de compréhension de ce système).
Voilà, j'ai enfin mis en place une clé (ou, pour être précis, un certificat) OpenPGP pour mon adresse e-mail : webmaster (at) kevinvuilleumier (point) net
Elle est également disponible sur les serveurs de clé publics (en tout cas sur https://keyserver.ubuntu.com/ - j'espère que les autres se synchroniseront bientôt).
« L’intimité est un besoin vital pour les humains, en être privé nous prive d’une partie de notre humanité. En être privé, être toujours sous la menace du regard et du jugement d’autrui, c’est perdre la capacité de penser par soi-même, d’exister, de se comporter en tant qu’individu indépendant, autonome. Priver les citoyen·ne·s d’intimité est une des caractéristiques des régimes totalitaires qui cherchent à nier les individualités pour ne gérer que des robots déshumanisés.
Protéger son intimité est donc essentiel. Mais il faut aussi veiller à ce que la société garantisse à chacun et chacune le droit à l’intimité. »
« « Sécurité ne veut pas dire impossibilité pour les services de sécurité d'accéder aux communications » assure le responsable. Il suffirait de prévoir les bons mécanismes « de sécurité, de chiffrement, d'autorité indépendante de contrôle, enfin tout ce qu'on veut... » pour concilier les deux. »
Donc une faiblesse dans les protocoles de chiffrement. Donc une porte dérobée. CQFD.
Le chiffrement de Vernam (ou masque jetable), théoriquement incassable et simple à comprendre, mais pratiquement quasiment impossible à implémenter correctement.
Tout comme TrueCrypt en son temps, VeraCrypt a eu droit à son audit de sécurité dont les résultats nous sont parvenus hier. L'auteur a été prompt à réagir et la plupart des failles ont été corrigées.