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"[...] the drive to have pirate site-blocking introduced into Swiss law has been rejected. Unlike elsewhere in Europe, where the practice is widespread and supported by EU law, ISPs will not be required to block ‘pirate’ platforms as some copyright holders had demanded." 😃
Je n'ai pas de mots, vraiment...
On va rigoler lorsque les moteurs de recherches et les réseaux sociaux (les « GAFA ») n'indexeront plus les articles de presse pour ne pas avoir à payer de licences d'exploitation (ou comment taxer le bouche-à-oreille).
Et comme ces plateformes honnies représentent à n'en pas douter une grande source de visiteurs pour les médias, ces derniers risquent d'y perdre encore plus de plumes !
Car je me le demande : en quoi le simple affichage du titre (et/ou d'un court extrait) d'un article constitue-t-il un vol (d'audimat, donc de revenus) ? C'est pourtant ce que clament les éditeurs (un aveu maladroit que leurs articles ne se résument finalement qu'à peu de choses et n'offrent par conséquent aucun réel contenu ?).
Ouf, encore heureux !
Je ne savais pas que c'était allé aussi loin, c'est affligeant.
Je suis de l'avis du commentateur Pierre M : « A partir du moment où l’animal n’en souffre pas, nous ne devrions pas inclure les autres espèces dans des législations telles que le droit d’auteur, ce serait ériger notre philosophie humaine au rang de « loi de la nature » et c’est absurde et inutile (et visiblement destructeur) d’anthropomorphiser à ce point le monde animal. »
Histoire de remettre les choses au clair.
Et aussi : http://artlibre.org/quelle-est-la-difference-entre-le-droit-dauteur-et-le-copyright-2/
Il a beau dater de 2011, cet article plus que jamais d'actualité.
Réponse rapide : non, ce n'est absolument pas requis pour qu'une œuvre soit protégée par le droit d'auteur.