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Sinon pourquoi pas Flutter pour concevoir des interfaces graphiques multi-plateformes tout en gardant des performances proches du natif.
Il n'est pas toujours aisé de s'y retrouver dans les ROM pour Android entre GrapheneOS, /e/, LineageOS, etc. Ce comparatif permet d'y voir plus clair en matière de vie privée, de sécurité et d'autres critères.
Sans surprise pour ma part, GrapheneOS se hisse au-dessus du lot (cf. liens partagés par le passé dans mon Shaarli). Mais il ne supporte que les Google Pixel, alors si vous avez un smartphone d'une autre marque, il faudra partir sur une autre ROM.
Le même auteur a publié d'autres comparatifs, en entête de la page.
Un visualiseur de bases de données SQLite en ligne.
Ça peut dépanner !
Les eSIM, c'est plutôt pratique : au lieu d'avoir une carte SIM standard (physique), souvent payante et que vous devez attendre de recevoir (si achetée en ligne/par correspondance), une eSIM est gratuite et peut être immédiatement activée.
Concrètement, l'installation d'une eSIM (on parle de profil) passe par un QR code reçu par l'opérateur.
C'est particulièrement bénéfique pour les voyageurs, car acheter une eSIM dans le pays permet de profiter de tarifs bien plus avantageux que le roaming de son opérateur national !
Seulement voilà : les smartphones anciens ne sont pas forcément compatibles eSIM, mais ce fabricant propose une solution plutôt intelligente : une eSIM sous forme physique qui peut stocker de 2 à 15 profils différents (un seul actif à la fois) et que l'on gère avec une application !
Attention : Android uniquement pour la gestion, mais une fois l'eSIM configurée (profil activé), elle peut être utilisée indistinctement sur un autre appareil (iOS, portables, etc.).
Pas testé personnellement, mais je garde sous le coude...
Ah ah, "Puritanism as a Service", c'est exactement ça !
Une critique plutôt sensée des passkeys.
Via SebSauvage.
Des malades : un Minecraft (ultra-basique) en pur HTML et CSS.
CPUID, non pas le développeur de CPU-Z, mais l'instruction permettant de récupérer le nom du CPU. Il ne faut pas s'y fier aveuglément, car les informations retournées peuvent être modifiées à la volée.
J'aime bien ce site qui débunke pas mal de mythes en matière d'audio (en particulier, les croyances quasi-fanatiques de certains idiophiles... pardon, audiophiles).
Je partagerai d'autres articles du site (pour m'en souvenir, en premier lieu).
Il est vrai que j'ai vu des projets open source mieux documentés que certaines API de Microsoft, la preuve par l'exemple.
Infâme.
TL;DR:
"Le protocole AT a été pensé pour être décentralisé. Dans la pratique, Bluesky ne l’est pas. La possibilité de créer facilement un PDS n’est qu’un petit élément parmi d’autres. Même si l’on peut créer des relais, leur mise en œuvre est complexe et sans doute bien trop onéreuse en stockage et bande passante pour être intéressante."
"On ne peut pas dire que Bluesky soit actuellement décentralisé, et encore moins fédéré. Il y a bien un centre, et il est géré par l’entreprise Bluesky. Sans son relai, rien ne fonctionne. Chaque serveur de données personnelles ne sert ainsi que comme petit réservoir pour les informations d’une personne, incapable de fonctionner par lui-même."
Lorsque votre certificat SSL est compromis (par exemple parce que sa clé privée a été volée), vous pouvez le révoquer, c'est-à-dire le signaler comme étant invalide et plus digne de confiance.
Mais comment le navigateur sait-il qu'un certificat est révoqué, car ce n'est pas une information que celui-ci contient ? Deux mécanismes existent : CRL et OCSP.
Cet article les présente ainsi que les problématiques liées.
ÉDIT : OCSP a depuis été déprécié en faveur de CRL : https://www.abetterinternet.org/post/replacing-ocsp-with-crls/
Lorsque vous achetez un certificat SSL, il n'est pas rare que des garanties, des assurances, soient proposées pour couvrir certains dommages pouvant résulter de mauvais usages. Quels usages ? Est-ce que ces assurances servent vraiment à quelque chose ?
Les Blu-ray de films aussi peuvent s'abîmer et certains sont plus touchés que d'autres. Ce site les recense et propose des solutions pour obtenir un disque de remplacement de la part de l'éditeur ou du fabricant.
J'ai toute une collection de (vieux) DVD, il faudra que je teste un jour si certains d'entre eux ont "pourri"...
Je garde sous le coude, avec :
- https://stackoverflow.com/questions/64237137/is-there-any-end-date-for-microsoft-full-net-framework-4-8
- https://learn.microsoft.com/en-us/lifecycle/faq/dotnet-framework#what-is-the-lifecycle-policy-for-different-versions-of--net-framework-
- https://blog.inedo.com/dotnet/demystifying-lts/
- https://learn.microsoft.com/en-us/lifecycle/products/microsoft-net-framework
Pas mal ce site : pour un jeu physique donné, il vous indique s'il est jouable hors ligne et sans téléchargement préalable (par exemple pour récupérer des données indispensables qui ne seraient pas présentes sur la cartouche/le disque par manque de place).
Voilà un article qu'il est bien !
C'est une astuce que toutes les marques et tous les vendeurs (ab)usent : parler de la capacité "interne" de la batterie et pas sa capacité nominale. Je suis heureux qu'ils en parlent de manière si vulgarisée ^^
Combien n'ont pas pesté parce que leur batterie externe ne tient pas ses promesses...
Par exemple, une batterie externe est donnée pour 10'000 mAh. Tu as un téléphone avec une batterie de 5000 mAh. Youpi, tu peux le charger deux fois complètement ?
Eh bien non : la capacité de la batterie est bien de 10'000 mAh, mais à la tension de 3.87 V (ou 3.7 V ou toute autre tension de sortie standard pour une batterie Lithium). Ainsi, la batterie possède une énergie de 38.7 Wh (10'000 mAh x 3.87 V / 1000).
Sauf que la tension de sortie sera au minimum de 5 V (norme USB), pas de 3.87 V.
Et pour 5 V, la capacité nominale n'est plus la même : 38.7 Wh / 5 V * 1000 = 7'740 mAh.
C'est même pire dans les faits, car le circuit de conversion n'est pas parfait et il y a des pertes (taux de conversion à prendre en compte) ! Selon la qualité de l'électronique, ces pertes peuvent être non-négligeables.
Par exemple, si une batterie a un taux de conversion de 77 % (exemple réaliste basée sur une véritable batterie), alors la capacité nominale réelle est de 7740 mAh * 0.77 ≃ 6000 mAh.
Soit une différence de près 40 % avec la capacité donnée par le fabricant, tout de même...
C'est sans compter les différentes tensions possibles en USB (jusqu'à 20 V je crois, ou 48 ?) ni les indications trompeuses données par certains vendeurs peu scrupuleux... Ou l'utilisation de batteries déjà usées et ayant perdu une partie de leur capacité.