Au programme de cette mise à jour :
• Ajout d'un bouton « Mot au hasard » dans la fenêtre d'affichage des mots ;
• Les flèches de navigation sont à présent désactivées par défaut ;
• Correction de plusieurs bugs.
Le service VPN de ProtonMail est enfin accessible à tous depuis aujourd'hui. Il y a une formule gratuite, basse vitesse, limitée à 3 pays et 1 appareil.
L'article lui-même mérite déjà un *facepalm* bien placé, mais l'encadré m'a fait halluciner. Jugez plutôt :
« La Poste avait imaginé, en 2016, de faire déchiffrer au Vietnam les adresses résistant à ses lecteurs optiques. Les libellés illisibles étaient scannés et envoyés à Hô Chi Minh-Ville. Là-bas, des employés d'une filiale les comparaient avec les listes d'adresses de La Poste, leur attribuaient un code et les renvoyaient en Suisse. Une centaine d'emplois locaux devaient disparaître. Le projet a été mis en œuvre, jugé concluant, puis abandonné pour des raisons politiques. »
Sous-traiter la lecture des adresses illisibles en Asie ? Sérieusement la Poste ?
Le chiffrement de Vernam (ou masque jetable), théoriquement incassable et simple à comprendre, mais pratiquement quasiment impossible à implémenter correctement.
Quelques chiffres et statistiques sur Twitter... et c'est plutôt impressionnant !
En résumé, Twitter, c'est :
• 319 millions d'utilisateurs actifs mensuels (MAU)
• 500 millions de tweets envoyés quotidiennement
• 300 milliards de tweets au total
• 2.53 milliards de dollars de chiffre d'affaires en 2016, pour une perte nette de 457 millions de dollars
De plus, contrairement à une croyance très répandue (« max 20 ans de prison »), il est possible d'être interné à vie en Suisse, si la personne représente une menace trop grande pour la sécurité publique :
« La prison à vie existe-t-elle en Suisse?
On entend souvent que la prison à vie n’existe pas véritablement en Suisse car tout le monde est libéré, au plus tard, au bout de vingt ans. Faux. La prison à vie existe. S’il est vrai qu’une libération conditionnelle est étudiée au bout de quinze ans, elle est loin d’être automatique. Quelques criminels tristement célèbres (dont le sadique de Romont) se trouvent toujours derrière les barreaux. Leurs demandes de libération conditionnelle ayant été rejetées car le risque de récidive a été jugé trop important. »